Chaque matin, évident l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était incomparablement étranger, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés avec soin sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rituel de filtration, utilisant des https://simonbmvci.ageeksblog.com/33075630/les-ossements-qui-désirent